En cette période de fêtes, toute l'équipe de BanqueManager se joint à moi pour vous souhaiter d'excellentes fêtes de fin d'année.

Profitez bien de ces congés d'hiver pour passer du bon temps avec votre famille et toutes les personnes que vous chérissez, et laissez de côté tous vos soucis durant cette période festive.

L'Assemblée nationale a validé définitivement le projet de budget 2013 ce jeudi 20 décembre.
Il intègre de nouvelles mesures fiscales qui concernent différents profils de contribuables.

Le point sur ce qui change l'année prochaine.
Création d'une tranche à 45% de l'impôt sur le revenu : cela concerne quelque 50.000 contribuables gagnant plus de 150.000 € par an et par part.

Le gel du barème de l'impôt sur le revenu maintenu : l'Assemblée nationale a voté la reconduction du gel du barème de l'impôt sur le revenu, engagé par le Gouvernement précédent.
En conséquence, 7,4 millions de contribuables modestes devraient être épargnés, mais les autres ressentiront une hausse des impôts de près de 2%.

Plafonnement du quotient familial : le plafond passera de 2.336 € à 2.000 € par demi-part supplémentaire.

Impôt de solidarité sur la fortune (ISF) : l'abattement de 300 € par enfant à charge est supprimé tandis qu'un barème de 0,5% à 1,5% est introduit.

Création d'une taxe à 75% pour les très hauts revenus : pendant deux ans, les contribuables dont les revenus sont supérieurs à un million d'euros par an seront taxés à hauteur de 75%.
Quelque 1.500 consommateurs seront concernés et devront payer 140.000 €.

Hausse de la redevance audiovisuelle : la contribution à l'audiovisuel public augmentera de 6 € pour s'établir à 131 €.

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Le ministre de l'Economie et des Finances, Pierre Moscovici, a annoncé que le plafond du Livret A serait porté à 22 950 € à compter du 1er janvier 2013.
Ce plafond avait déjà été revalorisé de 25 % le 1er octobre dernier pour être fixé à 19 125 €.

Bercy, 19 décembre 2012
La Rédaction d'Intérêts Privés
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Cette hausse, qui représentera environ 15 euros par an et par ménage en moyenne, est liée à la hausse d'une taxe qui finance notamment les énergies renouvelables.

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La crise a continué à déstabiliser les régimes de retraite, qui seront en déficit de 18,8 milliards dès 2017, d'après les calculs du Conseil d'orientation des retraites.
Le déficit devrait se creuser encore plus ensuite.
Si rien ne change, le système des retraites court une nouvelle fois à la faillite.
C'est l'alerte rouge envoyée par le Conseil d'orientation des retraites (COR) dans son rapport de réactualisation des perspectives financières des régimes à paraître mercredi et dont Le Figaro a obtenu une copie.
Si aucun correctif n'est apporté, selon le COR, «le besoin de financement se creuserait, passant de 14 milliards d'euros en 2011 à 18,8 en 2017».
Pis, le déficit des 33 principaux régimes de base et complémentaires varierait de 20,8 milliards en 2020 pour le scénario le plus optimiste à 24,9 pour le plus pessimiste.
«La situation financière serait marquée par le contexte macroéconomique dégradé lié à la poursuite de la crise jusqu'en 2013, puis par l'amélioration progressive escomptée jusqu'en 2020», décrit le COR.

Prévisions catastrophiques
À l'horizon 2060, les différentes projections font le grand écart.
Le plus rose des scénarios - qui table sur une baisse à terme du taux de chômage à 4% (contre 10% aujourd'hui) - aboutit à un excédent de 93 milliards.
Le plus noir (7% de chômage) débouche quant à lui sur un trou abyssal de… 105 milliards.
«Cette fourchette souligne la grande sensibilité de l'équilibre de long terme du système de retraite aux évolutions démographiques et économiques», se justifie le COR.

Le rapport entre cotisants et retraités, par exemple, devrait d'abord rester stable.
De 1,65 à l'horizon 2020, il baissera «fortement sous l'effet du papy boom pour passer à moins de 1,4 dans les années 2040, et à moins de 1,35 à l'horizon 2060», prévoit le COR.
Ces prévisions catastrophiques rendent inévitable une nouvelle réforme des retraites en 2013.

Le salaire minimum augmentera de 0,3% au 1er janvier, à 9,43 euros l'heure, soit 1.430,22 euros bruts mensuels pour 35 heures, a-t-on appris lundi auprès du ministère du Travail, confirmant des déclarations des partenaires sociaux.

Cette revalorisation correspond à la stricte augmentation légale, après une hausse de 2% au 1er juillet, dont un coup de pouce de 0,6%.

Au total sur l'année, le Smic aura progressé de 2,3% et "compte-tenu de l'inflation de +1,3% constatée sur l'année, cette hausse globale correspond à un gain de pouvoir d'achat de 1%" pour les 2,6 millions de salariés rémunérés au Smic, précise le ministère dans un communiqué.

Devant la Commission nationale de la négociation collective (CNNC), le ministre du Travail, Michel Sapin, a par ailleurs annoncé une révision des critères d'indexation du Smic afin de notamment "mieux prendre en compte le poids des dépenses contraintes (loyer, énergie)" qui pèsent sur les ménages.

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Le régime de retraite des fonctionnaires demeure encore et toujours plus généreux que celui des salariés du privé.

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Les pensions des régimes Agirc (cadres) et Arrco (tous salariés), en grande difficulté à cause de la conjoncture, pourraient être gelées pendant trois ans. »
Les retraités seront de plus en plus mis à contribution » Le pouvoir d'achat des retraités risque de s'éroder.

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La contribution à l'audiovisuel public passe ainsi à 131 euros en métropole et à 85 euros en outremer, après une hausse de 5 euros.
Justification de gouvernement : il faut compenser la baisse des revenus publicitaires de France Télévisions.

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Les tarifs des transports en commun en Île-de-France devraient augmenter de 2,9% au 1er janvier, indique Metro, mercredi 12 décembre.
Selon le journal, le conseil du Syndicat des transports d'île-de-France (Stif) devrait entériner cette décision, jeudi 13 décembre.

L'augmentation des tarifs concernerait principalement les Parisiens et les habitants de la petite couronne.
- Pour un abonnement mensuel Navigo zone 1-2, l'abonnement devrait ainsi passer de 62,90€ à 65,10€.
- Pour les zones 1-3, le coût s'établirait, dès l'an prochain, à 84,10€, contre 81,40€ actuellement.

Selon Metro, qui a pu consulter le document présenté jeudi, la hausse serait moins "importante" pour les voyageurs en provenance de la grande couronne.
- Pour un abonnement 1-4, il faudrait compter un tarif mensuel de 102,30€ contre 99,60€ et
- pour une carte Navigo 1-5 113,20€ contre 111,50€ actuellement.

- Le forfait étudiant "Imagin'R" sera aussi revalorisé de 3%, quelle que soit la zone concernée, tout comme les tickets Mobilis et les Tickets Jeune week-end.

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